Joseph-Richard Veilleux |
Le geste recrée toujours le corps. Dans les moments de grâce, il devient mouvement de l'âme. L'esprit doit être libre, sans attaches, sans barrières à la concentration: il doit faire le vide et rendre formes, lignes, couleurs, volumes et profondeurs, jalonner le fond idiosyncratique d'une démarche engagée. |
Oeuvres